jeudi 31 décembre 2009
362.fr
mercredi 30 décembre 2009
mercredi 2 décembre 2009
salope.com
Je viens donner des rimes aux jeunes, des titres lacrymogènes
Je suis pas venu délirer ni faire le clown sur Dailymotion
Tape pas ton vice tu m’traques semaine après semaine
J’vis pas dans mon PC, j’habite pas mon adresse mail
sur Salope.com ça parle mal sur le forum
ça critique alors qu’on perfore allez niquer vos reums
vas-y clique sur mon foutu blase sur le clavier tes couilles poussent et tout d’un coup tu gazes, t’aimes pas les MC ton rêve nous scalper nos blases tu les as tous tapés un à un sur Booska-p
tu fais le fou sur le web mesquine
quand y a embrouille t’es le premier à taper l’esquive
vas-y vas-y tape tape mon nom sur Google
Tape-toi une queue tape-toi des barres on s’en tape
Tu perds ton temps pendant que nous on avance
T’as le profil du looser, de la victime et de la balance
REFRAIN (à chanter 2 fois)
Vas-y tape mon nom sur Google
Tape-toi une queue tape-toi des barres sur ma tête on s’en tape
Fais ta fiche, ton profil Salope.com
Fais ta vie ou va sur Salope.com
Et sur ma vie je me fous de ton avis
Je te refuse en ami lol mdr si si la famille
Je suis hors-jeu hors ligne sur MSN
J’ai pas le temps frérot moi faut que je tente juste d’assurer mes seize
J’suis au courant ouais que tu m’apprécies peu
Qu’tu passes ton temps à changer de blase, de pseudo et d’adresse IP
Quel truc de bolos tu te libères sur le net
Mais t’es qu’une caille virtuelle, un cyber survet
T’habites sur Google, c’est coup de cœur et coup de gueule
Tu y parles beaucoup de gun cloîtré dans ton bunker
T’aimes t’en prendre à nos rimes, tu t’accroches à nos beats
Tu délaisses ta copine et tu restes anonyme
Pour te retrouver, faut suivre l’odeur de derch
Ou taper MC + frustré dans le moteur de recherche
Tu dors dans le disque dur vas-y prends une pause
De toute façon t’existes plus quand j’ai fermé Windows
REFRAIN (à chanter 2 fois)
vas-y tape mon nom sur Google
Tape-toi une queue tape-toi des barres sur ma tête on s’en tape
Fais ta fiche, ton profil Salope.com
Fais ta vie ou va sur Salope.comLe public est averti ici c’est la zermi
T’auras en fait affaire qu’à des pauvres MC AZERTY
Retourne sur YouTube là t’es le King
Ici t’es foutu à part peut-être porter le stringTélécharge ma musique si ça te fait kiffer
Passe ta vie sur des sites si ça te fait kiffer
Mais ne parle pas sans savoir
Avant de partir en couilles il faudrait que tu commences par en avoirREFRAIN X2
vas-y tape mon nom sur Google
Tape-toi une queue tape-toi des barres sur ma tête on s’en tape
Fais ta fiche, ton profil Salope.com
Fais ta vie ou va sur Salope.com
- Paroles de Kool Shen
- Remerciements au site www.greatsong.net pour la transcription des paroles
- Salope.com est un nom de domaine proposé à la vente par Virtual Network.
dimanche 29 novembre 2009
cned.fr
jeudi 12 novembre 2009
cafebabel.fr
mercredi 11 novembre 2009
www.location-agadir-tamraght-mer-appartement-4x4-raid-maroc-surf.fr
mardi 10 novembre 2009
openenville.fr
lundi 9 novembre 2009
twitterature.us
jeudi 5 novembre 2009
www.zorro-lemusical.fr
lundi 2 novembre 2009
www.agencevoyage.tel
mercredi 28 octobre 2009
www.facebook.dead
dimanche 25 octobre 2009
www.lucky-luke-le-film.com
C'était l'époque où les escaliers mécaniques étaient réservés aux endroits extraordinaires, les aéroports par exemple. D'ailleurs, ce n'était pas des escaliers mécaniques, mais des "Escalators" (si vous ne me croyez pas, allez voir le site du Musée qui lui est dédié. Vous remarquerez d'ailleurs que c'est un musée de pacotille, sinon ils auraient choisi d'enregistrer leur nom en .MUSEUM). Les escalators montaient, ils ne descendaient jamais.
Bref, en sortant de l'escalier mécanique on gravissait encore quelques marches, et la salle de cinéma s'ouvrait à vous, immense, tendue toute de bleu ou de rouge, avec des lumières incrustées dans les plafonds (on était dans les années soixante, une époque où dans les magasins on vous demandait si vous vouliez acheter une ampoule pour du 110 ou du 220 volts !). Il fallait descendre des marches pour aller au plus près de l'écran qui était immense lui aussi, de la largeur de la salle. Et il ne fallait pas aller trop près parce que ça abîmait les yeux.
Je ne me souviens plus des films qui étaient projetés, mais je peux dire que c'était toujours des héros qui tentaient leur grande évasion en sautant les barbelés d'un camp en motocyclette ou se réunissaient à sept mercenaires pour libérer le village de paysans mexicains rançonnés par des bandits. Mon héros préféré était Steve McQueen qui, à cheval, à moto, en voiture de course ou tenant une femme dans ses bras (ou les trois à la fois), incarnait le héros du XXe siècle. (Pour en savoir plus sur lui, je suggère d'aller sur le site www.jesuismort.com qui propose de se recueillir sur les tombes des hommes et des femmes les plus célèbres, de leur rendre hommage ou de souffler les bougies de l’anniversaire de leur mort. Si, si, ça existe !)
La caricature de ces héros se trouvaient dans la bande dessinée. Lucky Luke, Tanguy et Laverdure, Bob Morane et Barbe-rouge étaient des héros de cinéma "pour de rire" et on pouvait les retrouver chaque semaine dans le journal Pilote dont un certain René Goscinny était le secrétaire de rédaction. (Si vous voulez retrouver vos BD d'enfant, allez sur l'excellent site BD Oubliés qu'un dingue de bandes dessinées anime avec courage. Il a même répertorié mes chefs d'oeuvre, un dingue je vous dit !)
Notre époque étant à la régression, ce sont maintenant ces héros de bande-dessinée que l'on retrouve sur grand écran. Lucky Luke, le Petit Nicolas viennent de sortir en salle et l'on prend soin d'ajouter au nom de domaine "-le-film" pour que surtout on ne confonde pas avec la bande dessinée.
Même les acteurs d'aujourd'hui sont des personnages de bande-dessinée. Jean Dujardin (qui incarne un Lucky Luke empêtré dans ses interrogations freudiennes), aussi talentueux soit-il, ne prétend pas être autre chose qu'une parodie de Steve Mc Queen ou de Sean Connery. Son grand rival (c'est tout dire !) est Franck Dubosc, porté par Yann Moix, qui passe de case en case dans Cineman. Même Kad Merad est une sorte de crayonné, une esquisse de Bourvil.
Les acteurs d'aujourd'hui ne sont pas des héros, ni même des anti-héros, mais des héros de notre enfance, des héros "pour rire". Peut-être parce que l'on a un Président de la République qui ressemble à Iznogoud (le petit hargneux qui voulait toujours être Calife à la place du Calife). Peut-être parce que ce sont toujours les mêmes qui montent sur les escalators qui ne font que descendre. Peut-être parce que l'époque est violente et que l'on a tous besoin de retrouver, devant nos yeux d'enfant, un film ou une page dessinée.
On est dans une époque où l'on a besoin de purée-jambon et de coquillettes et où les hommes ne sont plus des héros, mais des enfants.
mercredi 21 octobre 2009
Volkswagen fait partir le .de en tête-à-queue
PS. Que ceux qui veulent qu'il change la photo de sa chronique laissent un commentaire.
dimanche 18 octobre 2009
www.generationfame.fr

C'EST PAS NOUVEAU, CA VIENT DE SORTIR.Que faire quand son nom de domaine "naturel" est déjà deposé par quelqu'un d'autre ? C'est la question que ce sont posés les producteurs du film "fame" (qui veux aussi dire célébrité ou gloire en anglais), lorsqu'ils se sont aperçus que leur nom de domaine était fameusement deposé partout, aussi bien par un fameux organisme financier (www.fame.com) que par un de ces inutiles site parking (www.fame.fr) qui encombrent la planète internet.
Une réponse régulièrement adoptée est de faire précéder ou suivre le mot convoité par un élément différenciant dont la juxtaposition avec le terme susdit augmente la probabilité de disponibilité. Ainsi les entreprises ajoutent fréquemment "groupe" ou "france" à leur nom de domaine, alors que les particuliers le font précéder par le mot "mariage" ou "famille". Les gens de cinéma, dont la profession est d'être original, augmentent le titre du film par le suffixe "-le-film.fr".
Les producteurs du remake du film d'Alan Parker sorti en 1980 (lui-même remake d'un film anglais réalisé en 1936 par Leslie Hiscott) ont eu l'excellente idée de faire précéder ce terme célèbre par le mot "génération". Un mot hérité du vocabulaire de la démographie (les générations X et Y suivent la génération des baby-boomers) et récupéré par le marketing, notamment politique.
C'est parait-il Julien Dray, lors d'une réunion mémorable avec Jacques Séguéla et Jacques Pilhan qui inventa en 1988 le célèbre slogan "Génération Mitterrand" inspiré de la campagne "Génération Pepsi" de 1984. Puis Brice Lalonde et Jean-Louis Borloo se réclamèrent de "Génération écologie" en 1990 avant que le terme perde totalement de son originalité. Le même Jacques Séguéla vient d'ailleurs de faire paraître un livre : "Génération QE" qui tente d'accréditer l'idée d'un quotient émotionnel...
GénérationFame.fr (existe aussi en .com) qui vient de sortir au cinéma (Le 7 octobre dans toutes les salles) fait donc partie de cette nouvelle... génération de noms de domaine que des graphistes habiles parviennent à mettre en valeur (voir photo) afin que le public perçoivent à la fois l'émergence de la génération et la permanence de la célébrité. Ceux à qui cet oximore déplaît auront toujours la possibilité de se consoler en constatant qu'un nom de domaine dure souvent aussi longtemps que la gloire.
mercredi 7 octobre 2009
lundi 5 octobre 2009
Nouveau blog sur les noms de domaine
On me dit que la Première Dame de France s’apprête à lancer son blog à l’adresse www.carlabrunisarkozy.org. Je viens de lancer le mien, la coïncidence est troublante… C’est amusant en tout cas d’utiliser l’extension ORG réservé aux « Organisations non gouvernementales ». Une pierre dans le jardin du Premier ministre ?
dimanche 4 octobre 2009
MAIS QUE VA DEVENIR LE NOM DE DOMAINE MANGER-BOUGER.FR ?
Il n’y a pas un spot à la radio qui ne se termine pas par une incitation à bouger immédiatement après avoir ingéré ne serait-ce qu’une calorie, même si le message est diffusé à trois heures du matin ou cinq fois de suite pendant que je suis sous ma douche.
Quand à la télévision, je me demande comment il n’y a pas eu plus d’accidents domestiques provoqués par cette nouvelle manie de vouloir faire bouger la ménagère de moins de 50 ans, tranquillement assise à table devant Laurence Ferrari.
En voulant toucher les entreprises au porte-monnaie, l’INPES a parfaitement réussie son coup. Plutôt que de payer une taxe supplémentaire, l’agence de publicité, soucieuse des deniers de son client, préfère signer du désormais célèbre et peu glamour nom de domaine.
Où sont les signatures d’antan (pour cela, voir l’excellent site de Jean-Luc Gronner www.souslelogo.com) qui nous affirmaient que « bien manger est le début du bonheur » ou que « la force qui fait bouger le monde, c’est l’amour ! ». Seul Vittel osait proposer la juxtaposition des verbes boire et éliminer, mais en assortissant cette injonction d’une musique déculpabilisante et diurétique. Il me suffit encore aujourd’hui de l’entendre pour chercher les toilettes les plus proches.
Car c’est bien le problème de ce nom de domaine « mangerbouger.fr ». Il y a de grandes chances que, dans un réflexe pavlovien, nos esprits associent désormais irrémédiablement ce nom de domaine aux crèmes glacés dégoulinantes et aux frites grasses. C’est bien simple, je ne peux plus voir ce nom de domaine sans avoir envie d'un gros gâteau.
Dans les années 60, le jeune délinquant du film Orange Mécanique subissait un lavage de cerveau destiné à le dégoutter de la violence. Sur la musique de la cinquième de Beethoven, des images de viol, de batailles, de guerres étaient diffusées en boucle, un dispositif l’empêchant de fermer les yeux. Pour échapper à ce matraquage, il finissait pas se jeter par la fenêtre. Au fond, c’est une façon de bouger comme une autre.
samedi 26 septembre 2009
LES NOMS DE DOMAINE ETAIENT MALADES DE LA PESTE.
Non, ce nom de domaine est intéressant parce qu'il tente d'accréditer - par la juxtaposition de mots savants - un discours sécuritaire, voir alarmiste. Le terme « pandémie » a été préféré a « épidémie » qui aurait été plus neutre. Du grec ancien « pan » (tous) et « démos » (peuple), le mot suggère que l'ensemble de la population est touché et alité (Ce qui objectivement ne semble pas être le cas sauf si on a le malheur de chercher un plombier d'urgence).
D'ailleurs le site gouvernementale le dit lui même. : « Nous ne sommes pas aujourd'hui en situation de pandémie grippale. Mais une pandémie pourrait se produire.... » On précise donc bien que pour l'instant il n'en est rien, mais le mot "pandémie" a un petit côté "les animaux malades de la peste" qui va bien avec l’ambiance du moment.
Le mot « grippale » a été choisi dans le même esprit. On aurait pu se contenter du terme « grippe », mais en l'accordant au mot qui le précède, on parvient a lui donner une dimension supplémentaire. Grippale rime avec maximale, total, monumental et bien sur avec gouvernemental.
Qu'importe si ce nom de domaine est aussi mnémotechnique que le nom d'un médicament générique… contre la grippe. Il confère a ce site une portée de santé publique dont on ne doute pas qu'il contribuera non seulement à arrêter le virus a nos portes, mais également à propager la gloire des promoteurs de cette nouvelle ligne Maginot du web.
Ne vous inquiétez pas, le site pandemie-grippale.gouv.fr veille sur notre santé et restera dans l'histoire comme le premier nom de domaine qui fait peur et qui rassure a la fois.
lundi 21 septembre 2009
lundi 14 septembre 2009
MEME SI LE LINGE SALE SE NETTOIE EN FAMILLE, AUTANT FAIRE APPEL A UN PROFESSIONNEL
Le nom de domaine est particulièrement bien choisi. Simple, sans aspérité orthographique, évocateur à la fois du service (le pressing) et du bénéfice que l'on peut en attendre (que ce ne soit pas une prise de tête).
Le jeu de mot n'est compréhensible qu'en français et c'est sans doute pour cela que les promoteurs du site ne se sont pas donnés la peine de déposer leur nom de domaine sur d'autres extensions, comme le .BE ou le .CO.UK.
Il est vrai que la livraison des chemises propres et des costumes en 48h chrono est difficile à réaliser depuis Paris vers l'étranger et on voit mal une lavandière française aller déposer son linge fraîchement repassé en Belgique ou en Angleterre. Ce serait probablement économiquement sans intérêt, même-ci, comme il a été dit plus haut, la période incite fortement à laver outre-manche.
dimanche 13 septembre 2009
samedi 12 septembre 2009
C’EST BIEN CONNU, LE PLUS DIFFICILE AVEC LE CHOCOLAT, C’EST DE RÉSISTER À LA TENTATION.
Au delà d’une opération financière dont on voit bien que l’objectif est d’aller vers Mars (1), il s’agit pour l’heureux propriétaire de la vache Milka d’ajouter le chocolat Poulain à son cheptel. L’industriel américain est prêt a dépenser 11,7 milliards d’euros pour mettre en cage La Pie qui Chante, ce qui fait quand même cher du bonbon. Il est vrai que pour le café Grand-Mère, mettre la bague au doigt de Jacques Vabre vaut bien de vider un peu son bas de laine. Et tant pis si les sujets de sa gracieuse majesté frémissent déjà à l’idée que leur Dairy Milk se lève sous une autre étoile, nous risquons nous même de voir partir outre atlantique la plus célèbre paire de seins de l’histoire du cachou.
On voit bien ici la force des marques. Si le géant américain est prêt à dépenser autant d’argent pour mettre la main sur un (gros) paquet de bonbons, c’est bien parce que les héritiers de M. John Cadbury, marchand de thé et de café à Birmingham depuis 1824, ont su créer un imaginaire autour des mots comme on entoure une friandise avec du papier multicolore.
Les concepteurs de nom de domaine doivent s’en inspirer en créant, avec des mots simples, des identités aussi fortes que Toblerone ou Lajaunie. Même si la tentation est grande de déposer des noms de domaine purement descriptifs de l’activité et du produit, on ne fabriquera pas d’imaginaire autour de www.chocolat-en-forme-de-triangle.com ou de www.la-jeune-femme-a-forte-poitrine-qui-agite-une-boite-de-cachou-jaune.fr. Quoi que…
vendredi 11 septembre 2009
CE N’EST PAS PARCE QUE L’ON EST RADIN QU’IL FAUT ÉCONOMISER SUR L’ESSENTIEL.
Sur le marché déjà très encombré des comparateurs de prix, le site www.voyagermoinscher.com tente de se faire un nom. Sans faire injure a l'excellent Price Minister qui en est le réel promoteur et qui s’est fait une réputation en poussant ses clients à être radin, on peut toutefois se demander si le créateur du nom de domaine n’y est pas allé lui-même à l’économie.
Difficile en effet de faire moins original face a l'emblématique www.partirpascher.com qui a été le premier a installer la référence prix a l'intérieur du nom de domaine et ce dès septembre 1998. Sans constituer a proprement parler un plagiat (un comparateur n'est pas un site de voyage) on peut considérer que la différence entre "partir" et "voyager" est bien faible.
Même si, on peut partir sans voyager et voyager sans partir il est probable que le consommateur ne verra pas beaucoup la différence et pourrait s'y méprendre. Le risque est plutôt dans l'appauvrissement d'une recette de nommage où l'inventivité n’a pas été l'ingrédient le plus utilisé. A quand un www.sedeplacerencoremoinscher.com ou un www.bougerpourpasunethune.fr ?
D'autant qu'en terme de comparateur, il est difficile de faire mieux que le célèbre www.quiestlemoinscher.com de E.Leclerc qui a définitivement posé, a grand renfort de campagne publicitaire, la question du prix dans le nom de domaine. Même si la grande tendance est au dépôt de nom de domaine à forte signification (quiveutdufromage.com, biennourrirmaplante.fr, etc.) il faut se méfier de la surenchère à l’adverbe qui va tendre à banaliser le site internet.
Il en est des noms de domaine comme des arbres qui n'atteignent jamais le ciel, on n’ira pas plus loin que les 64 caractères d'un nom de domaine, même si quelqu'un trouve moyen de www.voyagerencoremoinscherquemoinscher.com